Avec un hiver très neigeux cumulé à l’action du gel, les dégats sur nos routes yvelinoises sont très important, avec toutefois un impact sur les finances des mairies, des départements…
Cet hiver, qui n’a pas apprécié ces épisodes neigeux où nos campagnes étaient habillées d’un blanc manteau. Beauté des paysages , jeu en famille avec les enfants … , c’était un régal sauf pour nos routes au goût fortement salé. Les collectivités ont du agir rapidement et s’adapter en salant ou en sablant les axes principaux mais aussi urbains, afin que cette neige disparaisse rapidement, et rendent ainsi nos routes pratiquables.
Avec le printemps qui arrive, Il faut maintenant faire le point de l’état des chaussées, où nids de poule et dégradations sont pléthores. Remettre en état nos routes c’est un chantier énorme, autant dire que la facture sera salée, car il ne suffit pas de reboucher un trou, un nid de poule et ainsi rendre le tapis routier opérationnel, mais bien engager des réfections complètes des chaussées, fortement abimées.
Après l’état des lieux, il faut maintenant additionner les coût de réfection. Résultat, une facture d’1 million d’€, très salée, pour les routes gérées par le Conseil général des Yvelines pour réparer les nombreuses dégradations causées par les conditions météorologiques de cet hiver sur les routes départementales.
Dans un premier, alors que les conditions climatiques ne sont pas encore au rendez-vous, des réparations temporaires sont effectuées par l’application d’un « enrobé à froid » communique le conseil général yvelinois. Avec l’arrivé d’un climat plus clément, ce sera une seconde phase qui interviendra « des travaux consisteront à remplacer les couches inférieures des chaussées les plus atteintes par de nouveaux matériaux en « enrobé à chaud » sur environ 27 000 m² de surface de chaussée ».