C’est parti pour le renouvellement de la Charte du parc Naturel Régional de la Haute vallée de Chevreuse, mais aussi l’élargissement à plusieurs nouvelles communes.

Le comité syndical du Parc Naturel Régional de la Haute vallée de Chevreuse, a lancé hier mardi le 16 mars 2021 la procédure de révision de sa charte en votant une proposition de périmètre d’étude qui sera soumise au conseil régional d’Ile de France.
C’est le premier pas d’un marathon qui s’achèvera en 2025.
Yves Vandewalle président du PNR de chevreuse
De la lutte contre l’intensification urbaine à la transition écologique
Contrairement à d’autres parcs de province qui luttent contre un dépeuplement du territoire, le parc de la Haute Vallée de Chevreuse tente de maîtriser la pression urbaine et ne pas devenir une zone dortoir. Dès 1972, 12 communes unissent leurs efforts pour créer un parc naturel régional, qui reçoit l’année suivante le soutien du conseil général des Yvelines puis du conseil régional le 19 juin 1979.
Il a été créé en décembre 1985, c’est le premier parc naturel régional d’Île-de-France.
En 2011, 12 communes du Montfortois entrent dans le PNR de Chevreuse
Après 4 ans d’étude, le 5 novembre 2011, le décret paru au journal officiel, étendait finalement le parc a 51 communes alors que le projet d’extension portait sur 77 communes.
Les communes du Montfortois de Bazoches-sur-Guyonne, Galluis, Gambais, Grosrouvre, Jouars-Pontchartrain, Mareil-le-Guyon, Méré, Les Mesnuls, Montfort-l’Amaury, La Queue-lez-Yvelines, Le Tremblay-sur-mauldre, Saint-Rémy-l’Honoré sont officiellement entrées dans le périmètre du Parc Naturel Régional de la Hautre Vallée de Chevreuse le 5 novembre 2011.
A suivre …