Le « Jour de la Libération Fiscale » , est le jour où nous cessons de travailler pour la sphère publique, et qu’enfin nous travaillons pour nous.
En 2013, pour la France, le « Jour de la Libération Fiscale » est fixé au 26 juillet par l’Institut Economique Molinari, dans un document intitulé « fardeau social et fiscal de l’employé moyen au sein de l’UE« , tandis que les contribuables associés annonce le 29 juillet, suite à une publication de l’OCDE.
Tous les ans nous payons des impots, de la TVA, ISF, charges sociales, taxes sur les carburants, droits de succession, … représentant la dépense publique.
A partir de quelle date travaillons nous réellement pour nous ?
Comme chaque année, le montant des dépenses publiques par rapport au produit intérieur brut (PIB) de chaque pays est publié par l’OCDE et par l’institut Molinari. Il détermine le nombre de jours travaillés par chaque contribuable pour l’Etat et ses administrations et non pour lui. Gaspillages, corporatisme… ressources mal employées par la classe politique conduisent en 2013, à un prélèvement obligatoire de 56,61 % pour la France
La France conforte sa deuxième place des administrations les plus dépensières d’Europe, après la Belgique et devant l’Autriche selon l’institut Molinari, alors que que l’OCDE positionne la France toujours en 2èm position entre le Danemark (1er) et la Finlande (3ème).
Malgré une imposition de plus en plus élevée, c’est bien une absence de maîtrise des pouvoirs publics sur les finances de la Nation, qui qui repousse de quelques jours ce « Jour de la libération fiscale par rapport à 2012.
sce image : Institut Economique Molinari